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1.
European Respiratory Journal Conference: European Respiratory Society International Congress, ERS ; 60(Supplement 66), 2022.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-2252773

ABSTRACT

Introduction: The spreading of the Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus (COVID-19) pandemic could be associated with psychiatric implications. We investigated the psychopathological impact of COVID-19 in survivors. Method(s): This is a prospective study that included 150 patients at one month follow-up after hospital treatment. These patients answered the HADS (Hospital Anxiety and Depression Scale) questionnaire. We collected sociodemographic information, clinical data, baseline inflammatory markers and follow-up oxygen saturation levels. Result(s): A total of 150 patients had been included. Patients were 57.3% female, and had a mean age of 59.4+/-13years. A total of 48.6% of patients (n =73) had the diagnosis of anxiety disorder (AD) according to HADS questionnaire. A total of 52% of patients (n =78) had the diagnosis of AD. Moderate anxiety was found in 31.3% of the cases (n =47). Severe anxiety was found in 17.3% of cases (n=26). A total of 52% of patients (n =78) had the diagnosis of depression disorder (DD). Both moderate and severe depression was found in 52% of cases. Conclusion(s): we suggest assessing psychopathology of COVID-19 survivors, to diagnose and treat emergent psychiatric conditions, monitoring their changes over time, with the aim of reducing the disease burden, which is expected to be very high in patients with psychiatric conditions.

4.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):122, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586680

ABSTRACT

Introduction Au cours des pics de la pandémie de COVID-19, les services de réanimation en Tunisie ont été rapidement submergés. Les malades atteints d’une forme non critique ont été hospitalisés dans des services médicaux. L’aggravation de l’état d’un patient hospitalisé était un grand souci autant pour le médecin traitant que pour les parents à cause de la rareté des places en milieu des soins intensifs. L’objectif de notre étude est de décrire l’issu des malades hospitalisés pour COVID-19 et proposés devant l’aggravation de la maladie à un transfert en milieu des soins intensifs. Méthodes Nous avons inclus rétrospectivement tous les malades hospitalisés pour une pneumonie à SARS-CoV-2 dans le service de pneumologie du CHU de Monastir entre octobre 2020 et mars 2021. Les malades étaient proposés pour transfert en milieu des soins intensifs en cas d’apparition des signes de détresse respiratoire malgré un débit d’oxygène à 15L/min. Deux groupes ont été définis : G1 : les malades proposés et transférés en réanimation ;G2 : les malades proposés mais non transférés faute de place. Résultats Parmi les 147 malades inclus, 43 (29,3 %) ont été proposés pour un transfert en milieu des soins intensifs au cours de l’hospitalisation. L’âge moyen était de 65±12 ans, 49 % des hommes. Les antécédents étaient dominés par l’hypertension artérielle (54,5 %) et le diabète (42,2 %). Le début des symptômes était de 7 [6–10] jours avant l’admission. Une atteinte au scanner≥50 % était trouvée chez 34 % et le débit d’oxygène initial adéquat pour corriger l’hypoxémie était de 8±4L/min. Par manque de place, seulement 55,6 % (G1) des malades nécessitant les soins intensifs ont été transférés dans un délai médian de 24 heures en milieu de réanimation avec un taux de mortalité de 36 %. Dans le groupe G2 : 55 % décédaient, 15 % était mis sortant à domicile sous oxygène et 30 % sortant à domicile à l’air ambiant. Conclusion Le taux de mortalité était élevé chez les malades n’ayant pas bénéficié des soins intensifs une fois indiqués. Une augmentation du nombre des lits aux services de réanimation pourrait améliorer la chance de survie des malades atteints par COVID-19.

5.
Annales d'Endocrinologie ; 82(5):530-531, 2021.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1432803

ABSTRACT

Introduction Le diabète est l’une des comorbidités incriminées dans la gravité de l’infection par le SRAS-CoV-2.comme la population diabétique est hétérogène, on a essayé d’évaluer les facteurs de risque de mortalité chez les patients diabétiques atteints de pneumopathie Covid 19. Matériels et méthodes Étude rétrospective comprenant 220 patients admis entre novembre 2020 et avril 2021. Résultats L’âge moyen était de 66 ans. 40 % des patients diabétiques étaient traités par insuline et le reste par des anti- diabétiques oraux. 69 % avaient une hypertension artérielle et 12 % avait une pathologie pulmonaire chronique. Une insuffisance rénale chronique était présente chez 9,5 %. Deux patients étaient hémodialysés. Le délai moyen de consultation était de 4,2jours. Les facteurs de corrélation avec la mortalité étaient : la présence de SHAOS (p=0,029), de signes digestifs (p=0,019), de syndrome grippal (p=0,041), de perte d’appétit (0,033), le débit initial en oxygène (p=0,03), la saturation en oxygène (p=0,03), le taux de la créatinine sanguine(p=0,007), l’utilisation de la clarithromycine (p=0,024), le recours à la dialyse (p=0,038), la durée du séjour au service covid (p=0,013,la mortalité était 7 fois plus importante si la durée de séjour a dépassée 10j dans l’analyse multi variée), la dose de corticoïde (p<0,00001) et la saturation en oxygène initiale (p=0,001). Conclusion Une durée de séjour prolongée dans l’unité covid-19 semble être le principal facteur de mortalité chez nos patients indépendamment de toute comorbidité.

6.
Annales d'Endocrinologie ; 82(5):525, 2021.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1432799

ABSTRACT

Introduction La relation entre diabète et infection Covid 19 avait suscité un intérêt particulier. L’infection ainsi que son traitement par corticoïdes pourrait décompenser, révéler ou induire un diabète sucré. Résultats Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur 200 patients hospitalisés pour pneumopathie due au SARS-cov2 entre décembre 2020 et avril 2021. Presque la moitié avait un diabète connu (45 %). L’âge moyen était plus avancé chez cette population (66 ans pour les sujets ayant un diabète vs 63,9 ans). La moyenne des glycémies à l’admission des personnes non connues avoir un diabète était à 13. 94mmol/l et celle de l’HBA1C à 8. 58 %. 86 % d’entre eux avaient des comorbidités (HTA dans 50 % des cas). Le tableau clinique chez ces patients était marqué par la dyspnée (91 %), la fièvre (72,3 %), la toux sèche (36,4 %) et l’asthénie (27,3 %). Une hospitalisation initiale en réanimation avait intéressé 13. 6 % de ces patients. L’atteinte scanographique était sévère (>50 % du parenchyme) dans 75 % des cas. Leur PaO2 moyenne initiale était de 70,59 mmhg avec un besoin en oxygène de 5,12l/min. La corticothérapie était prescrite chez 86,4 % de ces patients. L’évolution était favorable dans 90 % des cas. À la sortie, 50 % des patients qui n’avaient pas de diabète dans leurs antécédents étaient traités par insuline. Conclusion Malgré la sévérité de l’atteinte pulmonaire, les comorbidités et la prévalence de diabète associé à l’infection Covid 19 chez nos patients, le pronostic était globalement favorable. Il sera important de rechercher la proportion et le type de diabètes démasqués ou induits par l’infection.

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